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Images du bonheur
Dossier
Après la Patinoire Royale à Bruxelles, qui vient de mettre à l’honneur la Figuration
narrative, c’est au tour de la Tate Modern de proposer un regard original sur les
courants des années 1960 en rapport étroit avec le Pop Art. En oubliant pour
une fois les stars américaines, l’exposition met en lumière l’internationalisme
du mouvement en donnant à voir des œuvres produites en Amérique latine, au
Moyen-Orient, au Japon et bien sûr en Europe.
Ushio Shinohara.
Doll Festival.
1966, peinture fluorescente, huile, panneau en plastique sur contreplaqué.
Hyogo Prefectural Museum of Art (Collection Yamamura), Kobe.
tation londonienne actuelle nous plonge en
pleine période de contestation enmettant en
avant des artistes qui ont utilisé les procédés
du Pop – bande dessinée, publicité, culture
Si, pour beaucoup, le Pop Art se réduit aux
trames de Lichtenstein, aux sérigraphies de
Warhol et au «
Swinging London
» de Peter
Blake, Hockney, Derek Boshier… la présen-
