À l’âge du virtuel et des temps superposés, l’Écossais Peter Doig voyage au bout de la nuit
américaine en mixant la peinture de Munch et de Matisse avec le cinéma d’horreur, ses photos
et ses propres souvenirs du Nord canadien et de la Caraïbe. Cris silencieux d’un sauvage civilisé
à la Fondation Beyeler, en 36 fragments d’un présent mélancolique.