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The project, which extends over several years, will be overseen
by a team of international experts from the entire Caribbean
region. Many personalities are acting as consultants, along with
several experts including Edward Sullivan on Latin American art
in the 20
th
century, Gérald Alexis on Haitian art, Veerle Poupeye
on English-language Caribbean and Jamaican art, Lowery Sims
on Cuban and American art and Alston Barrington Chavannes, an
expert on Caribbean anthropology and sociology.
Collaboration on the project began in 2006, at an initial meeting
held at the Museo del Barrio, and developed at other impor-
tant conferences in 2007 in Trinidad and Tobago, in 2008 in
Martinique and Guadeloupe and in 2009 in Curaçao and Aruba.
The 2008 conference,
Art Contemporain de la Caraïbe
, planned by
the International Association of Art Critics-Southern Caribbean
section in Martinique, offered an occasion to examine artistic
production in the Caribbean and evoke the need for a space
devoted to critique.
The planning and organization of the project has of course
required considerable financing from the Rockefeller Brothers
Fund, the Reed Foundation and the Dutch government.
This large-scale project is the logical culmination of a series of
events and shows such as the Art Services International exhibit in
1995, the exhibit sponsored by Rhode Island School of Design
des nombreuses personnalités consultées, figureront plu-
sieurs experts dont Edward Sullivan, concernant l’art latino-
américain du XX
e
siècle, Gérald Alexis, l’art haïtien, Veerle
Poupeye, l’art anglophone caribéen et jamaïcain, Lowery
Sims, l’art cubain et américain, ainsi qu’Alston Barrington
Chavannes, expert en anthropologie et sociologie caribéennes.
Cette collaboration a débuté en 2006, lors d’une première réu-
nion au Museo del Barrio, puis s’est développée lors d’autres
rencontres significatives, en 2007 à Trinidad et Tobago, en 2008
en Martinique et Guadeloupe, en 2009 à Curaçao et Aruba.
La conférence de 2008,
Art Contemporain de la Caraïbe
, projet
de l’AICA-Caraïbe du Sud en Martinique, a été l’occasion de
questionner la production artistique dans la Caraïbe et d’évo-
quer la nécessité d’un espace pour la critique.
Tout ce qui entoure le projet a bien sûr nécessité un finance-
ment significatif venant du Rockefeller Brothers Fund, de la
fondation Reed et du gouvernement des Pays-Bas.
Ce projet d’envergure est en fait l’aboutissement logique
d’une série de manifestations, d’expositions, comme celles
de 1995 par Art services international et de 2004 par l’École
d’art de Rhode Island, et aussi plus récemment l’exposition
de 2007 organisée par le musée de Brooklyn,
Infinite island :
Art contemporain de la Caraïbe
. Forts de ces expériences,
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