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          Yuk.
        
        
          2012,acryliquesurpanneauencadréavecunearmoireancienne,235x220cm.CourtesyAgialArtGallery.
        
        
          Ayman Baalbaki
        
        
          Né en 1975 à Odeissé, Liban
        
        
          Vit et travaille entre Beyrouth et Paris
        
        
          Représenté par Rose Issa Projects, Londres et Agial Art Gallery, Beyrouth
        
        
          Actualité :
        
        
          25 ans de créativité arabe
        
        
          , jusqu’au 3 février 2013,
        
        
          Institut du monde arabe, Paris
        
        
          Artiste paru dans :
        
        
          Hors-série
        
        
          Traits d’Union – Paris et l’art
        
        
          contemporain arabe
        
        
          , octobre 2011
        
        
          « Mon œuvre ne parle que du monde arabe, mais
        
        
          en même temps, elle ne parle que de la peinture
        
        
          et ce dont la peinture ne parle pas. C’est-à-dire
        
        
          ce qui recouvre le champ élargi qui va de l’icône
        
        
          byzantine à l’art populaire, au sens le plus rim-
        
        
          baldien : enseignes de garages, étals de fruits,
        
        
          affiches déchirées, etc. Tout le recours en grâce
        
        
          du réel par ceux qui ne le regardent plus. C’est
        
        
          aussi une enquête sur le terrain sociologique
        
        
          et politique des multi-ethnies libanaises, de la
        
        
          guerre du Liban et les mises en scène de l’exil.
        
        
          […] Ma démarche artistique semble très enga-
        
        
          gée mais en fait, ne l’est pas. Tout dépend de
        
        
          la manière dont on voit l’image. Mon sentiment
        
        
          intérieur est tout autre. Je porte en moi l’enga-
        
        
          gement familial mais également autre chose, de
        
        
          plus distancié. Je pose les questions différem-
        
        
          ment. C’est dans ce hiatus que je peins. »
        
        
          Extrait du hors-série
        
        
          Traits d’Union – Paris et l’art contemporain arabe
        
        
          ,
        
        
          octobre 2011