Que suggèrent aujourd’hui à un amateur d’art les termes art de la Caraïbe ? Une
production singulière et exotique confinée sur son territoire ou bien quelques démarches
individuelles fortes bien ancrées dans la contemporanéité et largement diffusées ? Est-il
d’ailleurs toujours pertinent de se ranger sous une bannière géographique ? Comment
accroître la visibilité des artistes de l’arc antillais et dynamiser leur présence sur le
marché international ? Au regard de cet objectif, quelle est la réalité actuelle ?
Être
ou ne pas être
caribéen?
Par DoMiNique brebioN
Ci-dessus : Polibio Díaz.
Mata los Indios 1 : villa Mella 2.
2001-2004, photographies sur bâche, 104 x 288 cm.
Ci-contre : Ebony G. Patterson.
Sans titre Bazile Paw
,
série
Species
(détail). 2011, technique mixte sur papier, 175 x 122 cm.
esthÉtique
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